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Top 14 : le point a mi championnat (partie 1)

2 Décembre 2010 , Rédigé par Pierre Ammiche Publié dans #Top 14

Oyez ! Oyez ! Amis amoureux de l’ovalie, nous voici déjà aux portes des phases retours. 12 matchs déjà joués, plus que 14 à venir. Si le classement est limpide de complexité et si le championnat est toujours aussi indécis, c’est après un travail de visionnage ultra précis et ultra poussé que nous allons nous livrer à un petit état des lieux club par club avec leur classement, leur point(s) faible(s), point(s) fort(s), le meilleur joueur de ce début de saison et enfin la révélation. Puis un petit point sur les dernières infos transfert qui courent.

Enfin nous établirons le top 30 des révélations de l’année et l’équipe type de ce début de saison.  

Mais pour rendre la chose plus digeste, nous allons à l’instar des barèmes classique utilisés pour les hôtels procéder à ce petit retour club par club sur la première partie de saison sous forme d’étoiles. Petite explication de ce barème.

 

***** : c’est cher, c’est indécent, c’est presque irrévérencieux de donner le prix et pourtant on y retournerait bien… c’est le top du top, il y a des « boys » de partout, les gens sont sympas et souriants et la nourriture préparé par un chef étoilée est parfaite. On en parle pendant des années et on se rappel avec nostalgie ce séjour formidable ! C’est un peu le Georges V

 

**** : C’est très beau, c’est très bon, c’est très chaleureux et on s’y sent bien mais… Il manque un petit « je ne sais quoi » qui rendrait l’endroit absolument génial… C’est un peu le super hôtel romantique où l’on emmène sa dulcinée.

 

*** : C’est pas mal. On dort bien, la demi-pension est pas mal. C’est un bon rapport qualité prix. On le recommanderait a des amis de passages mais sans pour autant en faire des tonnes. C’est un peu l’hôtel Ibis. 

 

** : La sans être vraiment un bouge c’est loin d’être luxueux. On le trouve dans les dédales tortueux de la ville ou en périphérie. Les lits sont petits et les salles de bains exigüe au possible. La literie grince et le room service n’est qu’un vague fantasme que vous caressez de vos songes entre deux insomnies. Et bien oui : les murs en placo épais comme un Mac Book air laissent entendre ce qu’il se passe à coté, les canalisations font du bruit, ca pue, la bouffe est plus que passable et le service de chambre pas franchement payé pour être sympa. C’est un peu le formule 1.  

 

* : alors là c’est l’enfer : des cheveux noirs et épais dans les draps, une odeur de sueur et de sexe persistante, ca sent la misère jusqu’au moindre petit tableau en point de croix au mur. On paye à l’heure et il n’y a pas la télé. Le mec a l’entrée vous a regardé d’un œil torve et suintant le vice et une fois dans votre chambre, en position fœtale, les genoux contre la poitrine en vous balançant d’avant en arrière pour faire abstraction du monde hostile qui vous entoure, vous vous laisser vaincre par la fatigue sur les coups de 5h du matin. Quand vous vous réveillez vous vous êtes fait dépouiller par des prostituées qui bossaient a coté… C’est un peu l’hôtel de passe minable de la rue Saint-Denis. 

 

 

Le point club par club :

 

Le club *****

 

Toulouse : à Ernest Vallon, tout va bien. On marque, on fait du jeu, le paquet d’avant est impressionnant de maitrise et de puissance, les cadres sont toujours au top (Servat, Jauzion, Dusautoir, Kelleher) et cerise sur le gâteau, les blessés de longue date sont de retour (Michalak, Nyanga). La période de trêve internationale leur a permis de faire un gros travail physique et il se murmure que le Rup’ alias Rupeni Caucaunibuca est tout proche d’un retour fracassant.

 

Le point fort : Un effectif pléthorique, une expérience monstrueuse du très haut niveau, des cadres en forme et des joueurs en confiance, un tout nouveau vent de fraicheur souffle sur les lignes arrières sous la houlette du néo retraité JB Ellisalde, le pack le plus complet et le plus efficace du championnat… Toulouse ne manque pas de points forts en témoigne les récentes performances contre l’Usap ou Toulon.  

 

Le point faible : Bon ben là… Peut être un petit manque de solution au poste de 10 et encore… Non, les deux gros points faibles du ST sont des problèmes de riches : comment gérer au mieux H-Cup et Top 14, comment faire sans quelques internationaux pendant le tournoi, comment maintenir cet état de forme tout l’année ? Le plus gros point d’interrogation (et potentiellement une faiblesse) c’est de savoir comment gérer une bonne cohésion au sein d’une équipe aussi énorme.

 

Le meilleur joueur : ils sont plusieurs à pouvoir postuler pour ce titre honorifique. Mais si Servat est le meilleur marqueur des avants, si Médard les enfile comme des perles, si Jauzion fait toujours le boulot et si Dusautoir se montre toujours efficace, c’est sans conteste Census Johnston qui mérite les plus importantes louanges. Toujours au soutient, constamment en action, titanesque en mêlée, capable de prendre des intervalles et de faire jouer avant contact, c’est indéniablement à l’heure actuelle le meilleur pilier droit du championnat et probablement du monde. 

 

La révélation : Sylvain Nicolas. Auteur d’un superbe début de championnat, une blessure est venue tout gâchée. On attend déjà avec impatience de le revoir.

 

Les transferts potentiels : On annonce le départ de Kelleher possible vers le Stade Français, et comme toujours Toulouse se montre plutôt discret sur les joueurs qu’ils pistent. Mais des bruits de couloirs laissent entendre un intérêt véritable de Yannick Bru pour Forrestier et Noirot devant. Ivaldi serai lui aussi approché. L’avenir nous dira quoi en penser.

 

Classement : 1er

 

 

Les clubs ****

 

Montpellier: C’est la grosse cote de ce début de championnat. On n’a pas fait de recrues clinquantes, pas de gros noms ronflants et de joueurs de l’autre hémisphère aux salaires impossible… En fait le vrai coup du mercato réussit par Montpellier c’est d’avoir pu recruter deux manitous : Galthié et Béchu. Ces deux gars, mi marabouts mi sorcier, on réussit en l’espace de 4 mois a donner un fil directeur au jeu du MHRC, de l’envie, et surtout de la confiance et de l’efficacité. Ils sortent d’une période faste et espérons qu’ils n’aient pas mangés leur pain blanc trop vite.

 

Le point fort : L’activité débordante de toute l’équipe. Une sorte de fraicheur et d’insouciance dans conduite du jeu alliée à une organisation irréprochable en défense et une capacité a conclure les temps forts par des points. Ils ne font pas vraiment peur mais ils font très souvent mal. Leurs victoires ne sont pas simples mais toujours mérités et les cadres sont jusqu’à aujourd’hui décisifs. 

 

Le point faible : Un vrai manque de profondeur de banc. Si pour l’instant tout va plus ou moins bien, comment le MHRC va gérer l’absence de Trinh-Duc (Fernandez étant pour le moment très bon mais tout de même plus limité dans son jeu que le français) et les absences pendant le tournoi de Ouedraogo ou d’autre sera très dure a gérer. Si le XV type est très bon, que penser du fait que le staff ne peut pas s’appuyer sur plus de 18-20 joueurs de manières régulières ? 

 

Le meilleur joueur : Fulgence Ouedraogo. Si d’autre comme Trinh-Duc Laduhie ou Thomas sont très bon, l’activité du capitaine est tellement déterminante et communicative que chacune de ses absences, ou en tout cas dans 9 cas sur 10, se solde par une défaite. 

 

La révélation : Geoffrey Doumayrou. Puissant, rapide, décisif, capable de faire la différence et surtout de faire subir ses plaquages, reconvertit au centre, il est l’un des tout meilleur de l’équipe lui qu’on ne connaissait pas bien jusqu’à l’année dernière.

 

Les transferts possibles : c’est le calme plat du coté des rumeurs même si comme tous les ans les Big three sera approché (Trinh-Duc, Ouedraogo, Thomas) par les « gros ». Si le MHRC continu sur sa lancée, alors inutile de dire que la perspective de jouer la H-Cup dans l’un des plus beaux stades de France (Le stade Yves du manoir est l’un des plus moderne et magnifique de France) sous le beau soleil du Roussillon va attirer quelques mercenaires post-coupe du monde et quelques joueurs de talent en quête d’une équipe prête à les accueillir. 

Classement : 2ème  

 

Racing : Une équipe qui gagne, qui prend des bonus, qui impose du rythme et surtout un jeu au pied très, très long. Un jeu typiquement britannique (jeu au pied long et grosse pression sur les phases statiques) qui semble venu d’un autre temps mais d’une efficacité redoutable, d’autant plus qu’il s’agit d’un des packs les plus lourds du championnat.

 

Le point fort : On l’a dit, une puissance phénoménale a tous les postes. Des ailiers qui font 110 kilos (Bobo et Vulivuli), des centres pas moins gaillards (Steyn, Chavancy, Masi)… Une équipe qui semble toujours difficile à manœuvrer, encore plus à Colombes où ils restent sur quelques succès de rang.  

 

Le point faible : Un manque de créativité auquel ils essayent de palier notamment avec la prise de responsabilité de plus en plus important de J. Wisniewski. Mais c’est vrai que ca n’est pas le génie des combinaisons en première main ou l’instinct qui les étouffe. Mais quand on avance sur chaque impact et qu’on puni par des drops et des pénalités tous les adversaires, a quoi bon chasser le naturel ?...

 

Le meilleur joueur : Noirot. Incontournable rampe de lancement aussi bien en touche qu’en mêlée où la précision de ses lancés ou alors sa puissance sont primordiale, une équipe semble enfin avoir pris toute la mesure de son talent. Il s’y dépense sans compter et en forme de récompense, une sélection contre les Fidjis.

 

La révélation : C’est là que le bas blesse. Finalement très peu de jeunes joueurs ou même simplement des joueurs qui découvrent le top 14. On aurait bien envie de citer Antoine Battut, mais formé au stade Toulousain où il a connu pour la première fois le top 14, il est hors cours pour parler de vraie révélation.

 

Les transferts possibles : Avec le Racing, rien n’est impossible. Dusautoir, Albacete et/ou Johnston seraient attendus…

 

Classement : 3ème. 

 

Les clubs ***

 

Clermont : c’est mi figue mi raisin. Un coup ca va, un coup ca va plus. Courant alternatif… enfin on a compris que ca n’est pas facile a digérer de péter une malédiction et de se replonger dans la dure réalité du championnat. Un effectif à peine remanié, quelques ajustement de jeu et voilà que pourtant Clermont joue toute sa saison ou presque sur le mois de décembre… Et c’est le président himself qui le dit dans les colonnes du Midol. Le staff serre les fesses, les joueurs serrent les dents et les supporters servent des demis : en route vers la remontée.

 

Le point fort : Un gros pack, de la vitesse et des rotations possibles a tous les postes et des individualités de talent. Sur la papier, ils ont tout pour être au moins barragistes. 

 

Le point faible : A force de gagner tous les matchs a l’arrache, on fini par s’épuiser mentalement et physiquement dans des matchs où pourtant il n’y a pas lieu. Le meilleur exemple ? Le match à Bourgoin ou les isérois étaient au plus mal et où il a fallut attendre les 10 dernières minutes pour assurer d’un coup victoire et point de bonus… un monde.

 

Le meilleur joueur : Aurélien Rougerie. Plaqueur gratteur et dynamiteur. Il a « volé » la place d’un joueur incontournable il y a deux ans, Canale, et personne ne voit qu’il n’est pas un vrai centre… Il est LE « facteur x » de cette équipe et celui qui peut faire parler la foudre sur toutes les actions.

 

La révélation : On ne l’a pas vu très longtemps mais le début de saison de Wesley Fofana a été formidable. Vraiment très doué ballon en main, il a en plus gagné du coffre et du volume de jeu en quelques mois. Il est barré par ce qui se fait de mieux ou presque en France avec Nalaga/Malzieu/Rougerie/Russel mais il progresse a vu d’œil et Verne Cotter a du le remarquer pour lui faire aussi souvent confiance.

 

Les transferts possibles : On attendait un centre, on parlait d’Estebanez ou de quelques autres et c’est finalement l’ancien parisien et surtout actuel joueur de Llanelli Regan King qui va débarquer dans le massif central. Un joueur au talent évident et qui le distille de façon généreuse aussi bien en H-cup qu’en Ligue celte. Autre recrue évoquée : Rocky Elsom.

 

Classement : 7ème

 

 

Biarritz : On les croyait morts et enterrés après 3 saisons dégelasse et puis l’année dernière, surprise ! Le BO en finale européenne… alors oui c’est vrai tout n’est pas réglé. Oui c’est vrai que les lacunes évidentes de cette équipe biarrote saute aux yeux. Oui c’est vrai que la crise couve constamment, que le club n’a jamais semblé aussi proche de l’implosion a chaque défaite, que Blanco fout un peu le bordel depuis qu’il est revenu mais les faits sont là : le BO redevient un club qui fait (un peu) peur.

 

Le point fort : Un groupe de joueur soudé, ou les cadres sont tous au sommet de leur jeu en cette année de coupe du monde. C’est très positif et le retour de quelques joueurs importants comme Lauret ou le deuxième ligne pachydermique Taele fera le plus grand bien à une équipe sans vrai rotation devant.

 

Le pont faible : un manque de régularité dans les résultats et surtout une instabilité palpable. En 6 mois : deux vraies-fausses démissions, des attaques dans la presse, un staff aussi complexe que le parti communiste de la grande époque stalinienne, des combats d’égos en coulisse… Enfin bref, l’ambiance de travail est moyenne et Issac/Gonzalez ne sont pas dans les meilleures dispositions pour tirer la quintessence des joueurs.   

 

Le meilleur joueur : Yachivili est de retour ! On l’attendait et le voila ! Il tourne a presque 20 points par match : mieux que Mike Pietrus, Johan Petro, Alexis Ajinca et Ian Mahimni réunis (ils jouent tous au basket en Nba) ! Un jeu au pied microchirurgical, un jeu ballon en main toujours aussi pénible à lire et une animation comme aux plus grandes heures du monstre a 16 pates rouge et blanc. On en est ravi.   

 

La révélation : La palme est, une fois n’est pas coutume, partagée par un avant et un arrière. Devant, Lakafia est hyper impressionnant du haut de ses 20 ans. Il avance à l’impact et fait très mal au milieu du terrain. Faure ou Lauret en font plus en moins les frais en réduisant leur temps de jeu, Va’afolo lui joue moins en 8, tout comme Harinordoquy. La concurrence est saine mais omniprésente.

De l’autre coté, Barraque. Le gamin a du talent, du culot, des vraies dispositions d’animateur et a tout pour devenir un futur très grand. Alors oui j’en fait des caisses sur un joueur que la majorité d’entre vous ne connaissez même pas, oui j’en fait des kilos sur un jeune « qu’il faut laisser grandir sereinement » et patati et patata  mais franchement, ce garçon pu le rugby et il a la classe.

 

Les transferts possibles : Pas de grande nouvelle ni de grands nouveaux pour le moment.

 

Classement : 4ème


 

Perpignan : Perdre une finale ca fait mal… tellement mal que ca ne s’oublie pas en quelques mois. Et puis, en plus, quand on à une liste de blessés plus longue que le nombre de soldats suisses en 2 guerres mondiales, quand on a des cadres qui luttent contre les pépins physiques et la méforme, quand la sinistrose s’abat sur les troupes d’Aimé Girald, le début de saison est difficile. Mais attention, les catalans ne sont pas non plus de vieux grognards sur la fin de vie. Ils sont toujours dangereux et surtout l’effectif qui n’a pas changé d’un iota n’est pas devenu nul du jour au lendemain. La preuve ? Ils sont 8 ème a seulement 2 points des places de barragiste.

 

 

Le point fort : De l’expérience à revendre à tous les postes et un pack dominateur, des joueurs qui gagnent des duels et surtout qui ont une force physique de premier ordre. En gros : beaucoup de puissance et de grinta à tous les postes. 

 

Le point faible : La fragilité des joueurs. On les sent encore friable. Ils ont perdus le leader de vestiaire qu’était Durand parti au Racing et les leaders de jeu (Hume, Mermoz, Laharrague) plus souvent à l’infirmerie qu’au stade. Et puis leur échecs répétés en H-cup et leur finale complètement ratée contre Clermont à laissé des traces.

 

Le meilleur joueur : Nicolas Mas. Un autobus dans un parking de Mercedes. Un éléphant dans un magasin de porcelaine. Un ours dans une confiserie. Voila l’impression que dégage l’un des meilleurs piliers du monde. Il est incontournable en mêlée fermée et son rayonnement est de plus en plus intéressant. Il sait tout faire pour un droitier et sa défense permet souvent de renverser des situations délicates.

 

La révélation : Joffrey Michel. Puissant, polyvalent, souvent décisif et surtout d’une envie contagieuse, il palie avec talent le manque d’effectif encore debout au poste de centre, ailier ou arrière.

 

Les transferts possibles : On parle d’un retour de Carter sans vraiment y croire…

 

Classement : 8ème. 

 

 

Castres : Cet été, grande révolution a Castres : on a pas fait n’importe quoi a l’époque des transferts ! Personne n’a été viré, personne n’a fait de caprice ou de dépression nerveuse, personne n’est arrivé en retard. Et la, pourtant, le CO n’arrive pas a enchainer deux top-saison de suite. L’effectif a muri et semble plus fort mais ca ne marche pas comme on voudrait. Ca coince et en même temps c’est si proche. Une victoire de plus (contre Paris) et ils étaient 3ème. Là ils sont 6ème et doivent défendre leur place contre Clermont Perpignan et Bayonne. Mais le CO reste une équipe solide et surtout incroyablement dynamique.

 

Le point fort : Quand dans votre pack, vous avez 5 joueurs de la trempe de Diarra, Cabalero, Masoe, Tekori et Murray et que ces 5 bestiaux pousse derrière Forrestier, Bonnelo et Ducalcon… On a compris que la mêlée est le plus belle de France, que le dynamisme s’associe sans mal à la puissance et que si l’équipe adverse n’adopte pas un plan spécifique pour cibler Tekori et/ou Masoe, elle risque de manger.

 

Le point faible : Le vrai point faible se situe après ce monstre à 16 pates. McIntyre un temps brillant a du mal a créer, Baï est lui aussi un joueur appliqué mais peu créatif et enfin Cabannes qui est peut être le meilleur défenseur du Top 14 au poste de second centre a bien du mal à conclure les coups. Ca fait peu de ballons a jouer pour Andreu ou Audrin et finalement ca n’est pas pour rien si sans Teulet le buteur, Castres n’aurait mis que 104 points en 12 match (8,6pts / Match)…

 

Le meilleur joueur : Masoe. Omniprésent et surpuissant, il fait des dégâts dans la plupart de ses matchs. Sa confrontation épique contre Chabal ou son duel contre Tonita on été des grands moments de bestialité cette saison et je me confesse (ouh le vilain) … J’adore ca !

 

La révélation : Martial. Un joueur qui débarque de pro D2 et qui fait 7 matchs en tant que titulaire malgré la concurrence d’Inigo, d’Andreu ou encore d’Audrin. Chapeau.

 

Les transferts possibles : Et bien on a parler d’un temps du départ prématuré de Kayser 

 

Classement : 6ème     

 

Dans la semaine : les clubs à 2 et 1 étoile. ^^ 

 

Bonne journée a tous ! 

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